Société des Missions Africaines – Province de Lyon
Le Père Max VIVIER
Né le 25 avril 1942 à Lyon (Rhône), diocèse de Lyon.
Membre de la SMA le 16/06/1968
Ordonné prêtre le 27/06/1971
Années |
Lieux de travail |
Fonctions occupées |
1969-1971 |
Anyama (Abidjan) |
Termine son séminaire |
1971-1976 |
Gagnoa |
Vicaire à la cathédrale |
1976-1977 |
Sassandra |
Vicaire |
1977-1978 |
Lyon, 150 |
Econome |
1978-1985 |
Arrancy (Verdun) |
En paroisse pour raisons familiales |
1985-1986 |
Paris, Crillon |
Vice-responsable et économe |
1986-1990 |
Metz (diocèse aux armées) |
Aumônier militaire |
1990-1993 |
Guyane (diocèse aux armées) |
Aumônier militaire |
1993-1997 |
Bordeaux (diocèse aux armées) |
Aumônier régional |
1997-2000 |
Paris |
Aumônier national pour les armées de terre Vicaire général aux armées depuis 1998 |
2001-2009 |
Trouan (Aube) (diocèse aux armées) |
Aumônier militaire ; reste vicaire général pour les forces de terres outre-mer |
2009 |
Strasbourg |
continue son service comme aumônier militaire dans le diocèse de Strasbourg, à cause du concordat. Il est à Illkirch-Graffenstaden |
2015-2020 |
Torcy-le-Grand |
Prêtre habitué |
Décédé à Troyes le 17 janvier 2020
à l’âge de 77 ans.
L’enterrement a eu lieu
le mardi 21 janvier 2020 à 14h30
à Arcis-sur-Aube, Troyes
Père Max Vivier
Qui est le père Max Vivier qui nous a quittés le 17 janvier dernier à Troyes et que nous avons enterré le 23 janvier à Arcis-sur-Aube ?
Max est né le 25 avril 1942 à Lyon (Rhône), diocèse de Lyon, et baptisé le 26 juillet de la même année.
De 1954 à 1957, il est admis au petit séminaire d'Oullins, puis de 1957 à 1959, il entre au petit séminaire SMA à Chaponost.
En 1962, il fait sa demande pour entrer à Chamalières, mais il change d'avis avant d'y aller et demande à faire un stage en Afrique : il est envoyé à Dabou pour deux années. Coeurs vaillants, catéchisme, école… Le régional, le père Thé-paut est très content de lui pendant ces deux années, ainsi que le père Malval curé de Dabou.
A la fin de ses deux ans, il revient en RCI au titre de la coopération comme insti-tuteur pour une année (1964-1965). Il est alors réformé définitif et entre à Cha-malières en 1965, et après deux années, il fait sa demande d'entrer au noviciat.
De 1969 à 1971, il termine sa théologie à Anyama, en Côte d’Ivoire et est or-donné prêtre.
De 1971-1977, il est nommé vicaire à la cathédrale de Gagnoa puis à Sassandra, en Côte d’Ivoire.
De 1977-1978, il est nommé à Lyon comme économe provincial.
De 1978-1985, il est nommé en paroisse à Arrancy (Verdun).
De 1985-1986, il est nommé à Paris, à la maison de Crillon comme vice-responsable et économe, avec le père Maurice Collaudin comme supérieur.
De 1986-1990, il est nommé aumônier militaire à Metz (diocèse aux armées).
De 1990-1993, Max est transféré en Guyane, toujours comme aumônier mili-taire.
De 1993-1997, il est nommé à Bordeaux (diocèse aux armées), comme aumô-nier régional.
De 1997-2000, il est transféré à Paris comme aumônier national pour les ar-mées de terre, et devient en 1998 Vicaire général aux armées.
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De 2001-2009, il est envoyé à Trouan dans l’Aube (diocèse aux armées), comme aumônier militaire.
Il reste vicaire général pour les forces de terre outre-mer.
De 2009-2015, Max continue son service comme aumônier militaire dans le dio-cèse de Strasbourg, à cause du concordat, son âge ne lui permettant plus de l’être ailleurs en France. Il est à Illkirch-Graffenstaden.
De 2015-2020, il se retire à la paroisse de Torcy-le-Grand comme prêtre habitué où il est resté jus-qu’à son retour dans la gloire céleste de notre Dieu et Père, le 17 janvier 2020, à l’âge de 77 ans.
Repose en paix, Max !
Extrait de l’homélie (Mc 2, 23-28) prononcée par Mgr Marc STENGER,
Évêque de Troyes, aux obsèques de Max Vivier.
C’est autour du Père Max Vivier que nous sommes rassemblés cet après-midi dans l’action de grâce, au moment où il se présente devant son Seigneur.
Le Père Max attachait une grande importance à la lecture continue de la Parole de Dieu. Il n’a jamais été un fonctionnaire du culte. Pour lui, les moments de célébration, les moments de rencontre pour préparer une telle célébration étaient des occasions de grandir avec ceux qu’il avait en face de lui dans la con-naissance du Christ, dans l’attachement au Christ. Et c’est sur le fond de cette rencontre du Christ que peuvent se découvrir le sens qui est donné à notre existence, les appels qui nous sont adressés, l’importance et la valeur des frères qui nous entourent.
Le témoignage du Père Max Vivier ne peut que nous laisser remplis d’espé-rance. La vocation de chacun de nous est d’être libéré, non pas pour faire n’im-porte quoi, mais pour mieux déployer les richesses qui sont en nous. Son minis-tère pastoral, il l’a déployé sur beaucoup de terrains, en Afrique, dans l’aumô-nerie militaire, sur le terrain du diocèse de Troyes. Il nous indique que nous ne devons pas rester confinés dans un petit monde bien clos, mais aller largement vers tous ceux qui croisent notre route et sollicitent notre aide fraternelle.
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